Commentaires

Lone Wolf - Et après ?

Par Le 04/01/2020

La rubrique Commentaires devient Et après ?, pour me permettre de parler un peu plus de l'idée derrière la nouvelle et peut-être de l'Univers qui y est raccordé...

Mes six sens qui sentent et mentent [Commentaire]

Par Le 25/07/2017

Mes six sens qui sentent et mentent est une fresque restée inachevée de longues années durant. J'avais conçu cet ensemble de nouvelles de manière à être lues dans un ordre précis, dans le but de manipuler au mieux les sens dont il est question, ainsi que les émotions.

Attention, voici mon ressenti qui part dans tous les sens.

La Philosophie de Comptoir

Par Le 23/01/2017

C'est drôle - enfin, tu ne peux pas t'en rendre compte - mais je rédige ce commentaire dans ce même carnet qui a servi de support à cette nouvelle. Une nouvelle qui me déchire à chaque fois que je la relis. Car comme tout le monde depuis que cette maladie a été étalée à la portée de tous, j'ai peur un jour de l'attraper comme un virus et de tout doucement descendre vers ma fin.

Sans m'en rendre compte.

C'est stupide.

Tout d'abord parce que la maladie d'Alzeihmer n'est pas un virus, bravo à toi si tu as fait gaffe.

Mais surtout parce qu'il vaut mieux s'éteindre tout doucement dans l'oubli de sa propre douleur qu'à petit feu dans un état permanent de conscience de sa déchéance.

Mais ça n'engage que mon point de vue et de toute façon je préfèrerais de loin mourir rapidement le jour de cette fameuse échéance !

Transmission 200 700 1 907

Par Le 29/11/2016

"Vous êtes avocat au procès de l'Education Nationale."

C'était l'intitulé de l'atelier des Scribouilleurs de novembre.

Mais pourquoi se limiter à une contrainte ?

2984

Par Le 21/11/2016

2984 est une micronouvelle écrite pour le concours Radio France.

Il y avait deux contraintes majoritaires : écrire sur la liberté en 1000 caractères.

Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de vous poser des limites, mais ce n'est pas facile de supprimer des mots "en trop", surtout quand ceux-ci deviennent au final des phrases, voire des paragraphes entiers à retirer car ils ont perdu leur sens à cause de ce petit mot qui vous a fait gagner cinq caractères.

Et puis, la liberté. C'est vaste comme thème. C'est vaste et réduit à la fois, puisque ça doit tenir dans 1000caractères.

J'ai beaucoup griffoné, raturé, réécrit. Puis j'ai recommencé, parce que j'ai eu une idée. 2984 fait référence à une oeuvre d'anticipation dystopique, 1984 de Georges Orwell. Il faut donc lire cette nouvelle avec, en tête, l'histoire de 1984 : on se retrouve dans un monde totalitariste où même la pensée est contrôlée ("Big Brother is watching you").

Le mot liberté prend alors un sens particulier ; c'est une chose inaccessible, même interdite ! Mon narrateur a vécu cette période de transition où la liberté a été abrogée : il refuse à présent de vivre dans un monde lissé où chacun est semblable à son voisin. Mon narrateur est l'humain lambda qui peut survivre mais qui ne peut pas vivre.

 

Pourquoi 2984 me demanderiez-vous ? Réfléchissons un instant sur la situation en cours. Et si notre futur était déjà écrit dans notre bibliothèque ?

 

~Bezuth

L'autre gars

Par Le 30/10/2016

L'autre gars est une nouvelle que j'ai écrite il y a un an et demi, peu avant les vacances d'avril. C'était un cauchemar, comme baucoup de mes inspirations, qui a été la base de ce travail. Vous êtes-vous déjà réveillés en plein milieu de la nuit, affolés, sans savoir où vous êtes, persuadés que ce que vous venez de vivre dans le monde orinique qui vous est propre est vrai ? Vous n'arrivez pas à vous dépêtrer du mauvais rêve que vous pensez être votre vie et votre esprit s'effondre alors que le noir de vos rideaux s'allonge sur vous et vous enferme dans une confusion toujours plus angoissante à mesure que vous vous débattez.

Comme une mouche dans une toile d'araignée.

Journal (de virage) de Bord

Par Le 15/10/2016

Nouvelle contribution à l'atelier des Scribouilleurs !

J'étais d'abord tentée de décrire le ressenti d'un homme transformé en femme ; mais après réflexion, cela m'a paru trop facile.

 

Faîtes attention, ce texte est un gros ramassis de clichés.

Le Vernis des Choses

Par Le 26/09/2016

Je n'ai rien à dire sur cette nouvelle. C'est peut-être bien la première fois que ça m'arrive.

Je n'ai rien à expliquer, je la trouve tellement simple.

Par contre, j'ai une question pour toi, lecteur anonyme qui ne répond pas souvent à mes interpellations ; voilà une occasion qui se présente de te présenter.

Quand as-tu deviné que "je" n'était pas une fille ?

Halte !

Par Le 20/09/2016

Nouveau concours des Scribouilleurs : vous êtes dirigeant d'un état et vous voulez interdire le port de chaussettes dans des sandales.

 

[EDIT : Je ne sais pas si vous connaissez la chanson d'Oldelaf - La peine de mort, mais elle est rentre bien dans le thème si on fait attention aux paroles...]

Schrödinger

Par Le 18/08/2016

Encore une nouvelle de terminée, bientôt la rentrée !
Je vous parle cette fois-ci de Schrödinger.

 

Arrêtez de crier

Par Le 10/08/2016

Voilà, un nouveau mois, un nouveau thème ; les Scribouilleurs reprennent.

La Grotte aux Rêves Bleus

Par Le 31/07/2016

La Grotte aux Rêves Bleus a une histoire particulière ; ce n'est ni un cauchemar, ni un sentiment.

C'est un tableau.

Héloïse

Par Le 25/07/2016

Héloïse a été écrite d'un trait ; au départ, je pensais à une nouvelle Galactée sortie de l'imagination de mon héros et donc du cadre de sa photographie.

Mais j'ai trouvé ça trop banal (si vous me passez l'expression) et j'ai laissé l'histoire se dérouler sur le papier et sous mes doigts ; Héloïse est tour à tour devenue une aïeule, un fantasme puis un rêve impossible à atteindre, effacé par les ans.

J'aurais pu l'affiner, développer plus l'histoire, ajouter des trémolos dans l'émotions d'André... mais je trouvais ça sympa, pour une fois, de ne pas retoucher. De vous laisser voir ce que ça donne quand j'écris d'un bloc.

 

~Bezuth

Memoriam

Par Le 24/07/2016

Memoriam s'appelait au départ In Memoriam, mais on m'a malheureusement fait la remarque que ça ne signifiait rien en latin !