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concours

La Philosophie de Comptoir

Par Le 23/01/2017

C'est drôle - enfin, tu ne peux pas t'en rendre compte - mais je rédige ce commentaire dans ce même carnet qui a servi de support à cette nouvelle. Une nouvelle qui me déchire à chaque fois que je la relis. Car comme tout le monde depuis que cette maladie a été étalée à la portée de tous, j'ai peur un jour de l'attraper comme un virus et de tout doucement descendre vers ma fin.

Sans m'en rendre compte.

C'est stupide.

Tout d'abord parce que la maladie d'Alzeihmer n'est pas un virus, bravo à toi si tu as fait gaffe.

Mais surtout parce qu'il vaut mieux s'éteindre tout doucement dans l'oubli de sa propre douleur qu'à petit feu dans un état permanent de conscience de sa déchéance.

Mais ça n'engage que mon point de vue et de toute façon je préfèrerais de loin mourir rapidement le jour de cette fameuse échéance !

2984

Par Le 21/11/2016

2984 est une micronouvelle écrite pour le concours Radio France.

Il y avait deux contraintes majoritaires : écrire sur la liberté en 1000 caractères.

Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de vous poser des limites, mais ce n'est pas facile de supprimer des mots "en trop", surtout quand ceux-ci deviennent au final des phrases, voire des paragraphes entiers à retirer car ils ont perdu leur sens à cause de ce petit mot qui vous a fait gagner cinq caractères.

Et puis, la liberté. C'est vaste comme thème. C'est vaste et réduit à la fois, puisque ça doit tenir dans 1000caractères.

J'ai beaucoup griffoné, raturé, réécrit. Puis j'ai recommencé, parce que j'ai eu une idée. 2984 fait référence à une oeuvre d'anticipation dystopique, 1984 de Georges Orwell. Il faut donc lire cette nouvelle avec, en tête, l'histoire de 1984 : on se retrouve dans un monde totalitariste où même la pensée est contrôlée ("Big Brother is watching you").

Le mot liberté prend alors un sens particulier ; c'est une chose inaccessible, même interdite ! Mon narrateur a vécu cette période de transition où la liberté a été abrogée : il refuse à présent de vivre dans un monde lissé où chacun est semblable à son voisin. Mon narrateur est l'humain lambda qui peut survivre mais qui ne peut pas vivre.

 

Pourquoi 2984 me demanderiez-vous ? Réfléchissons un instant sur la situation en cours. Et si notre futur était déjà écrit dans notre bibliothèque ?

 

~Bezuth

Journal (de virage) de Bord

Par Le 15/10/2016

Nouvelle contribution à l'atelier des Scribouilleurs !

J'étais d'abord tentée de décrire le ressenti d'un homme transformé en femme ; mais après réflexion, cela m'a paru trop facile.

 

Faîtes attention, ce texte est un gros ramassis de clichés.

Halte !

Par Le 20/09/2016

Nouveau concours des Scribouilleurs : vous êtes dirigeant d'un état et vous voulez interdire le port de chaussettes dans des sandales.

 

[EDIT : Je ne sais pas si vous connaissez la chanson d'Oldelaf - La peine de mort, mais elle est rentre bien dans le thème si on fait attention aux paroles...]

Arrêtez de crier

Par Le 10/08/2016

Voilà, un nouveau mois, un nouveau thème ; les Scribouilleurs reprennent.

Tôt ou tard

Par Le 14/07/2016

Tôt ou tard a été écrit spécialement pour le concours mis en place par le site Foulexpress, L'atelier des scribouilleurs.

Je participe à la deuxième édition, découverte un peu par hasard via la page Facebook de Nouveaux auteurs rémois.